Madagascar en long, en large et en travers...
Ce qui est le plus agréable : tout car c’est tellement dépaysant ! Même si je me dis que je ne pourrai pas vivre ici toute ma vie!
Ce qui est le plus agaçant : les départs et les arrivées dans les gares routières surtout avec 30kg de bagages
Ce que j’ai préféré touristiquement : Les Tsingy, Isalo (le Colorado malgache) et l’île St Marie pour les paysages - le train de Fianar à Manakar pour l’ambiance !
Ce que j’ai le moins aimé touristiquement : le tourisme sexuel plus que présent ici et souvent « prôné ».
Ce à quoi je me suis très bien habituée : aux kilos de mangues et de litchis ; et par la même occasion à la diarrhée qui va avec !
Ce à quoi je n’ai pas réussi à m’habituer : « Est-ce que vous avez une poubelle ? Non pourquoi ? Donnez moi l’emballage. Et hop on le jette par terre dans la rue ». Pas de poubelles dans la rue mais souvent non plus dans les hôtels ou les lieux publics.
Ce qui m’a le plus manqué : Flo et le fromage (dans une moindre mesure).
Ce qui m’a le moins manqué : le tapage médiatique sur la crise financière. C’est vrai que l’on était un peu beaucoup coupées du monde ici.
Ce qui me manquera le plus en rentrant : l’entrain des enfants malgaches (on verra bien celui de Molène) et bien sûr le soleil.
Ce qui me manquera la moins en rentrant : se faire interpeller à chaque coin de rue pour savoir comment on s’appelle, d’où l’on vient, où on va, si on a besoin d’aide, d’un pousse, de litchis ou de bracelets ! Je plains les stars !
Ce que je rapporterai bien en France de la culture malgache : « Vivre avec ce que l’on a sans chercher à avoir toujours plus ». Même si pour le développement du pays (qui d’après la plupart des gens a plutôt un avenir négatif), les malgaches devraient avoir parfois un peu plus d’ambitions (pas tous heureusement).
Ce que je ne rapporterai pas en France de la culture malgache : les galettes de riz et le ramazava (riz et brèdes) : j’en suis écoeurée.
La plus grosse galère à Mada : euh, euh… y’en a pas à vrai dire. Ce n’est pas faute d’avoir pris des « risques » mais il semble que j’ai une bonne étoile. Enfin, ne parlons pas trop vite, il se pourrait bien qu’elle arrive à Montparnasse en rentrant !